Passarinhada e rumores porque já se movimenta a calçada. E domingo pode ser o dia perfeito nos detalhes dobrados do que terminou, ou do que irá acontecer. A preguiça desce dos lençóis para caminhar pelo apartamento, um pouco menos insatisfeita, ou já acalmada, ou até feliz, ora, ora! Não vou mesmo trocar o piso da cozinha, nem pintar as paredes. Os buracos estarão lá até o final, customizando a a sala cenário, minha vida palco. Algumas expressões, espontaneidades são acachapantes com a verdade objetiva, objetiva verdade! Estamos, normalmente, dando voltas no assunto, fazendo nós nas cordas que nos separam uns dos outros. A nudez afronta, ou grita a loucura na nudez de uma pessoa…, não importa quem seja, nos escandalizamos. Elizabeth M.B. Mattos – janeiro de 2022 – Torres
21 de Janvier
Mathilde Roberty part ce soir. J’ai interrompu pendant qu’ elle était lá la redaction de mês Memóires. Il me tarde de m’ y replonger. Je n’ ai rien d’ abordé, rien effleuré, de ce qui me fait écrire. Peut-être m’attardai-je à l’excès à ces bagatelles du vestibule. Avec cela, l’idée de la mort ne me quitte pas, et il n’ est pas de jour où je ne me pouse cette question: si brusquement, aujourd’hui même, dans une heure, tout de suite, il me fallait tout interrompre, qu’ est-ce qui resterait, qu’est-ce qui paraîtrait, de tout ce que j’ avais dire? A force de prácautions, d’ atermoiement, et avec cette manie de réserver toujours pour le plus dignes temps le meilleure, il me sempre que tout encore reste à dire et que je n’ai fait jusqu’ à présent que préparer. Et pourtant je n’ai aucune confiance dans la vie, dans ma vie; cette appréhension ne me quitte pas, de la voir finir brusquement…au moment où enfin je commencerais à oser parler franc et dire des choses essentielles et véritables. Rien ne doit plus m’en détourner. (p.615) André Gide – Journal
